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9 mai 2016 1 09 /05 /mai /2016 23:01
Lire en Mai à Nyons : retrouvailles avec Chris Bernard et son concours, retrouvailles  à la remise des prix avec Michelle Grenier et rencontre avec la gagnante du concours de nouvelles : Laurence Marconi félicitée par Danyel Camoin membre du jury.
Lire en Mai à Nyons : retrouvailles avec Chris Bernard et son concours, retrouvailles  à la remise des prix avec Michelle Grenier et rencontre avec la gagnante du concours de nouvelles : Laurence Marconi félicitée par Danyel Camoin membre du jury.
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Lire en Mai à Nyons : retrouvailles avec Chris Bernard et son concours, retrouvailles à la remise des prix avec Michelle Grenier et rencontre avec la gagnante du concours de nouvelles : Laurence Marconi félicitée par Danyel Camoin membre du jury.

Après des passages malgré le vent sur les stands de AVH à Aubagne et de ARt'm à Auriol

les représentants de Provence-poésie, Denise Biondo et Mauricette Buffe en tête ont fait un passage à Lire en Mai à Nyons où ils ont retrouvé leur ami Chris Bernard organisateur du concours de nouvelles où Laurence Marconi a gagné avec sa nouvelle : Catharsis.

Danyel Camoin qui faisait partie du jury a pu la féliciter en retrouvant au passage une amie et partenaire : Michelle Grenier, récompensée en poésie.

Voici la nouvelle qui a gagné : 

 

     CATHARSIS                                                                                                                                                                                                                                                                                                     de Laurence Marconi                                                                                                                                                                                               

          Je suis devenue une étrangère. Depuis ce jour marqué au fer rouge dans ma chair, il me semble que je loge dans le corps d’une autre, comme si j’avais revêtu un habit de peau ou loué un déguisement pour  un bal costumé. Dans mon entourage, chacun incarne avec justesse son propre personnage. Moi, j’assiste en spectatrice indifférente à la parade des jours qui défilent, sans réussir à poser sur ma vie autre chose que deux grands yeux vides. Le temps passe mais n’efface pas les cicatrices. Mon cœur ne parvient plus à s’émouvoir. Plus rien ne me touche, ni les joies ni les tracas. Plus rien ne m’interpelle, ni les drames qui se jouent ni les sursauts du quotidien. Je promène mon corps avec détachement dans les coulisses de mon existence.

 

          Pourtant, la vie continue comme avant. Le regard des autres me confirme que je suis celle que j’ai toujours été. Si mes proches m’appellent par mon prénom, je réponds. S’ils  me parlent avec douceur, je souris. J’écoute la voix de ceux qui me soufflent les bonnes répliques. Je réagis sur commande mais je m’égare dans les décors de mon histoire comme si j’étais ma propre doublure.

         

          J’ai repris le cours de ma vie là où elle s’est arrêtée, à l’aube d’une journée qui promettait d’être belle, il y a deux ans. Depuis, les gestes de tous les jours sont  une victoire que mon entourage salue par des salves d’applaudissements. Je fais des efforts pour interpréter mon rôle le mieux possible. Celui d’une jeune femme forte qui a traversé cette épreuve avec courage et détermination. Je ne veux pas décevoir mes proches. L’amour dont ils m’entourent m’apaise et me guide. Alors, je m’efforce d’être moi-même, en famille, entre amis. Je cherche la clef, ce sésame qui m’ouvrirait les portes et me conduirait jusqu’à cette empreinte de moi restée sur la chaussée, un matin de juillet. 

 

          Depuis, je suis une autre. J’écoute sans la reconnaître ma voix qui survole les conversations, sème des paroles, butine ça et là quelques bons mots, sans jamais parvenir à se poser. Je reconnais à peine son bourdonnement. José, mon compagnon, me dirige avec une infinie patience. En aparté, il met mon corps en scène. Parfois, je retrouve le parfum de ma chair qu’exhument ses étreintes. Parfois, ses caresses me révèlent l’existence de mon corps, dans une fulgurance qui me comble. Mais le plaisir est éphémère. Ces abandons fugaces me réconcilient avec cet épiderme que j’ai tant de mal à apprivoiser. Hélas, ces instants sont rares, si rares … Des saynètes jouées à huis clos. Le reste du temps, je porte mon corps comme un costume de scène trop grand, trop lourd, trop encombrant.

                                                                                                                                                                                                                                             Je prends souvent des bains. Je pénètre, nue, dans la baignoire vide et je frissonne au

contact des parois froides contre lesquelles je m’abandonne. J’attends quelques instants, une sensation désagréable me parcourt. Je prends ainsi conscience de chaque parcelle de mon anatomie. Puis j’ouvre le robinet et l’eau chaude envahit la baignoire, me recouvre peu à peu et réchauffe un à un mes membres grelottants. Tous les sens engourdis, je m’installe dans une torpeur délicieuse que seul l’écoulement régulier de l’eau vient troubler. Lorsque la baignoire est remplie, lorsque l’eau a englouti la pointe de mes seins, dernier bastion de mon corps sans défense, je me décide enfin à fermer le robinet. J’attends que la surface soit lisse, que la dernière goutte échappée  finisse de troubler le miroir dans lequel je suis étendue, ouverte comme un nénuphar et le silence dans lequel je m’installe, apaisée. Alors, je pars à la découverte de mon corps. Sur ma peau, je promène mes mains que la chaleur de l’eau rend souples. Je suis douce. Mes doigts agiles effleurent mon épiderme, comme de petites araignées, en quête d’un signe qui me serait familier, d’un indice qui m’aiderait à me reconnaître, de cette clef du mystère de ma chair que je ne parviens pas à résoudre. J’explore les reliefs de ma peau. Doucement, je frôle les blessures qui affleurent à la surface de l’eau, là où ma chair endolorie tente de renaître, là où la peau boursoufflée dessine un paysage accidenté. Aveuglée depuis ce jour funeste, je lis en braille mon corps froissé, je me dirige à tâtons parmi les plis et les replis familiers, dans l’intimité de ma chair devenue insensible. Je porte mes meurtrissures comme une peau d’âne qui m’empêche d’être moi-même. Mais ces immersions prolongées dans le bain m’offrent de rares instants de bien être, des étincelles de complicité avec mon corps.

 

C’est aujourd’hui que se joue le dernier acte. Je suis calme. Très calme. Mon cœur ne s’emballe pas. Je ne ressens rien, ou presque. Je sens la présence de mes proches assis à mes côtés. Le cœur de José qui palpite dans sa poitrine plaquée contre mon bras droit. La pression de sa main moite sur la mienne. Son souffle court et régulier, comme le ronronnement d’un poêle, diffuse sa chaleur qui me ceint sans parvenir à pénétrer à l’intérieur de mon corps. Je suis froide. Très froide. Je sens les doigts fébriles de ma mère qui se cramponnent aux aspérités de mon bras gauche, comme un alpiniste s’agrippe à une paroi minérale et rugueuse. Mon corps est tendu, j’espère tant de cette scène finale. 

 

Partout autour, les gens s’installent. Spectateurs du drame dont je suis l’héroïne, ils prennent  place pour  l’épilogue. J’aimerais partager l’excitation palpable des miens. Mes yeux se posent sur les acteurs qui envahissent à présent la scène en silence, drapés dans leur longue robe noire. Une fois de plus, je suis figurante. Je ne  perçois pas  les regards qui tentent de me percer mais se heurtent au masque de mon visage que je devine impassible. Et puis soudain, il entre. Il prend place face à moi. Le regard fixe, accroché à un point invisible quelque part au fond de la salle. Je n’entends pas la rumeur qui enfle et se répand dans le public. Je ne sens pas le cœur de José qui s’affole, son souffle haletant, l’étau des doigts de ma mère qui se resserrent autour de mon bras captif. Je suis loin. Très loin.

                                                                                                                                                                                                                                 

Je marche dans la rue. Il est neuf heures du matin. Déjà, le soleil ruisselle le long des murs de ma cité. Déjà, l’azur du ciel se reflète dans les flaques que l’orage de la nuit a disséminées sur le bitume. Je vais au marché. Je me sens légère, soulagée de ce poids qui entravait mes gestes, brisait mes élans, voilait mes yeux sombres. J’ai rompu. Enfin. Je suis heureuse d’avoir trouvé la force, les mots. La force des mots. Il m’a écoutée sans rien dire, le menton tremblant de rage, le regard méprisant. Très vite, il est parti, les poings et la mâchoire serrés. Pas un mot, pas un coup. Pas même une volée d’injures. Je m’attendais à autre chose. A sa violence. J’ai guetté, toute la soirée, tapie dans ma chambre. Je savais que mon père ferait écran, mais je redoutais leur entrevue. Il n’est pas revenu. Pourquoi ai-je tant tardé ? Pourquoi n’ai-je pas osé le quitter plus tôt ? J’avais le soutien de ma famille, je le savais. C’était si facile. Je trottine sur le trottoir qui mène au centre-ville. Devant moi, la rue s’élargit, comme l’horizon qui m’offre à présent de nouvelles  perspectives. C’est drôle, il suffit de retirer un pion de l’échiquier pour que la vie déroule devant soi un avenir en couleurs. Hier, j’étais une jeune femme engagée, entravée, au destin tracé, lié à celui d’un homme qui m’aurait muselée. Aujourd’hui, je suis libre. Libre et heureuse. J’observe le reflet de ma silhouette dans la vitrine du boucher. Quelque chose a changé dans mon allure. Je porte mon corps avec fierté,  non plus avec soumission. Au détour de la rue des Ecoles, il surgit. Tout va très vite. La peur me fige. Je soutiens un instant son regard, haineux, fiévreux. Je lis dans ses yeux la folie qui l’habite. Mon cœur bat si fort qu’il me semble que ma poitrine va se rompre sous l’effet des pulsations qui martèlent ma cage thoracique. Je n’ai pas le temps de réaliser. Il crache des chapelets de paroles que je ne comprends pas. Mon esprit, comme mon corps, est paralysé par l’effroi. Il brandit un bidon, m’asperge de la tête aux pieds. Je suffoque. Je suis une torche vivante. Une fraction de seconde qui dure une éternité. J’entends confusément son rire qui s’embrase, puis, plus rien.

                                                                                                                                                                                                                             

Je tremble. Mon corps est secoué de spasmes que les mains empressées de ma mère et de José ne parviennent à calmer. Le procès de l’homme qui a supplicié mon corps et verrouillé mon destin vient de débuter. Deux ans que j’attends cet instant, pour renouer avec ma chair, faire le deuil de ma beauté sacrifiée à l’angle de la rue des Ecoles, un matin de juillet. Pour accepter ce corps encore jeune, ridé par les brûlures et les greffes successives, strié par les sutures. Le juge entame la longue litanie des chefs d’accusation, les flashes crépitent dans le tribunal comble, je sens mon cœur qui bat la chamade, ma gorge qui se noue tandis que mes yeux désespérément arides depuis le jour de l’agression s’emplissent de larmes et que je prends soudain conscience de mon corps en irruption. Je fixe cet homme aux poings liés et pour la première fois, je me sens forte et libre.

 

 

 

Après Nyons l'équipe de Provence-poésie retrouvait AVH à Auriol le 8 mai pour un autre stand parmi les fleurs.

 

article FZ

photos : Denise Biondo

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2 mai 2016 1 02 /05 /mai /2016 11:16
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
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A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
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A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
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A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
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A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury
A noter le retour de Rose-Marie Palun  et Jean Di Fusco dans les participants au concours  et Monique Morucci présidente du jury

A noter le retour de Rose-Marie Palun et Jean Di Fusco dans les participants au concours et Monique Morucci présidente du jury

Jean-Claude Beltramo-Geneviève Casaburi- Simone Dartois-Jean Di Fusco- Paul Di Giovanni-Joëlle Foin- Michel Isard-Sonia Kitaëff-Jean-André Margossian-Evelyne Palermo-Rose-Marie Palun- Janine Ravel-Maïté Rochas
Jean-Claude Beltramo-Geneviève Casaburi- Simone Dartois-Jean Di Fusco- Paul Di Giovanni-Joëlle Foin- Michel Isard-Sonia Kitaëff-Jean-André Margossian-Evelyne Palermo-Rose-Marie Palun- Janine Ravel-Maïté Rochas
Jean-Claude Beltramo-Geneviève Casaburi- Simone Dartois-Jean Di Fusco- Paul Di Giovanni-Joëlle Foin- Michel Isard-Sonia Kitaëff-Jean-André Margossian-Evelyne Palermo-Rose-Marie Palun- Janine Ravel-Maïté Rochas
Jean-Claude Beltramo-Geneviève Casaburi- Simone Dartois-Jean Di Fusco- Paul Di Giovanni-Joëlle Foin- Michel Isard-Sonia Kitaëff-Jean-André Margossian-Evelyne Palermo-Rose-Marie Palun- Janine Ravel-Maïté Rochas
Jean-Claude Beltramo-Geneviève Casaburi- Simone Dartois-Jean Di Fusco- Paul Di Giovanni-Joëlle Foin- Michel Isard-Sonia Kitaëff-Jean-André Margossian-Evelyne Palermo-Rose-Marie Palun- Janine Ravel-Maïté Rochas
Jean-Claude Beltramo-Geneviève Casaburi- Simone Dartois-Jean Di Fusco- Paul Di Giovanni-Joëlle Foin- Michel Isard-Sonia Kitaëff-Jean-André Margossian-Evelyne Palermo-Rose-Marie Palun- Janine Ravel-Maïté Rochas
Jean-Claude Beltramo-Geneviève Casaburi- Simone Dartois-Jean Di Fusco- Paul Di Giovanni-Joëlle Foin- Michel Isard-Sonia Kitaëff-Jean-André Margossian-Evelyne Palermo-Rose-Marie Palun- Janine Ravel-Maïté Rochas
Jean-Claude Beltramo-Geneviève Casaburi- Simone Dartois-Jean Di Fusco- Paul Di Giovanni-Joëlle Foin- Michel Isard-Sonia Kitaëff-Jean-André Margossian-Evelyne Palermo-Rose-Marie Palun- Janine Ravel-Maïté Rochas
Jean-Claude Beltramo-Geneviève Casaburi- Simone Dartois-Jean Di Fusco- Paul Di Giovanni-Joëlle Foin- Michel Isard-Sonia Kitaëff-Jean-André Margossian-Evelyne Palermo-Rose-Marie Palun- Janine Ravel-Maïté Rochas
Jean-Claude Beltramo-Geneviève Casaburi- Simone Dartois-Jean Di Fusco- Paul Di Giovanni-Joëlle Foin- Michel Isard-Sonia Kitaëff-Jean-André Margossian-Evelyne Palermo-Rose-Marie Palun- Janine Ravel-Maïté Rochas
Jean-Claude Beltramo-Geneviève Casaburi- Simone Dartois-Jean Di Fusco- Paul Di Giovanni-Joëlle Foin- Michel Isard-Sonia Kitaëff-Jean-André Margossian-Evelyne Palermo-Rose-Marie Palun- Janine Ravel-Maïté Rochas
Jean-Claude Beltramo-Geneviève Casaburi- Simone Dartois-Jean Di Fusco- Paul Di Giovanni-Joëlle Foin- Michel Isard-Sonia Kitaëff-Jean-André Margossian-Evelyne Palermo-Rose-Marie Palun- Janine Ravel-Maïté Rochas

Jean-Claude Beltramo-Geneviève Casaburi- Simone Dartois-Jean Di Fusco- Paul Di Giovanni-Joëlle Foin- Michel Isard-Sonia Kitaëff-Jean-André Margossian-Evelyne Palermo-Rose-Marie Palun- Janine Ravel-Maïté Rochas

Le 29 avril avaient lieu les retrouvailles de l'équipe Pp d'Aubagne et alentours, maison vie associative, les participants au concours interne étaient jugés par tous les spectatateurs non-participants présents dans la salle.(Adhérents-représentants inter-association et invités du jour)

Nous avons nommé sur place une présidente du jury pour gérer le mouvement : la pétillante Monique Morucci ( adhérente interprète des lectures-spectacles de Pp)

Chacun votant pour le texte qu'il a le plus apprécié. Thème poétique obligatoire sur le temps qu'il reste et la longévité avec un vers initial à incorporer : Il rit d'oiseaux le pin dont mon mon cercueil viendra...

Les participants présents lisent leur texte suivant le règlement et sont notés sur un premier tour

résultat du vote de 12 personnes spectatrices ce jour :

Jean-Claude Beltramo (Mourir de vieillesse) : 7 points

Michel Isard : Le bon côté de la longévité : 2 points

Jean-André Margossian : Le temps qu'il reste : 1 point

Evelyne Palermo : Le temps qu'il reste : 1 point

Janine Ravel : L'odyssée éternelle : 1 point

Les textes des absents (Jean Di Fusco - Simone Dartois - Maïté Rochas sont lus par un spécialiste ( Edouard) mais ceux-ci perdent 1 point pour ne pas lire eux-même

Ensuite un deuxième tour de scrutin nomme le meilleur interprète parmi les participants

Jean-Claude Beltramo : mourir de vieillesse : 5 points

Michel Isard : le bon côté de la longévité : 3 points

Janine Ravel : L'odyssée éternelle : 3 points

Evelyne Palermo : Le temps qu'il reste : 1 point

Le prix Francis Triay est attribué avec le stylo spécial de Provence-poésie à celui qui a remporté l'écrit : Jean-Claude Beltramo

Le prix Joseph Lévonian pour l'interprétation. également.

(Soit deux coupes de la mairie, le stylo de Pp, deux médailles et deux cadeaux.

Treize adhérents ont concouru pour ces prix (voir liste avec photos).

Tous les participants présents ont eu un petit cadeau. (stylos et jeux de cartes)

En plus de la remise de prix, tour de table habituel volontaire des adhérents et bulletin d'information association préalable sur les mouvement du trimestre de l'association :

présentation des livres sortis ou en cours et du périodique avec la muse du semestre gagnante de l'autre concours : Brigitte Jean

annonce des autres réunions de l'année et manifestations externes

décompte des adhérents : 7 nouveaux présentés d'où 69 adhérents à ce jour

ouverture à l'expression des adhérents : une seule question pour précision par Edouard.

Quelques absents dus à l'assemblée générale du crédit mutuel se déroulant le même jour.

Edouard interprétait : le temps qu'il reste, façon Serge Reggianni au moment du verre de l'amitié final.

Nous remercions tous ceux qui sont restés pour nous aider à ranger comme ceux qui nous ont aidé à installer ou ont apporté à boire ou à manger..

C'était le 29 avril 17h30- 20hoo salle habituelle...

Article FZ

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30 mars 2016 3 30 /03 /mars /2016 23:33
Brigitte Bansard-Jean, notre nouvelle nouvelliste, dans l'atelier 2, comme Geneviève Casaburi, montre aussi un talent de poète
Brigitte Bansard-Jean, notre nouvelle nouvelliste, dans l'atelier 2, comme Geneviève Casaburi, montre aussi un talent de poète
Brigitte Bansard-Jean, notre nouvelle nouvelliste, dans l'atelier 2, comme Geneviève Casaburi, montre aussi un talent de poète
Brigitte Bansard-Jean, notre nouvelle nouvelliste, dans l'atelier 2, comme Geneviève Casaburi, montre aussi un talent de poète

Brigitte Bansard-Jean, notre nouvelle nouvelliste, dans l'atelier 2, comme Geneviève Casaburi, montre aussi un talent de poète

Danyel Camoin présente

La nouvelle rubrique centrale :

La nouvelliste du semestre

Rubrique semestrielle de la nouvelle :

à chaque extrait de nouvelle une phrase de définition

Ce semestre la muse de la nouvelle prend le visage et les mots de

Brigitte Jean

Lauréate gagnante du concours de nouvelles

des auteurs en Pays d’Aubagne 2016

Vous ne résisterez pas au charme… de son stylo !

En suivant l’auteur, peut-être, découvrirez-vous la clef du mystère, un simple passe-temps, une solitude à laquelle vous n’auriez pas cru, et qu’importe si vous entendez cette musique exceptionnelle que font vibrer en vous :

Les mots du tiroir

J’ai découvert un étonnant mystère…Venez, approchez pour que je vous le confie…

Sur le dossier du fauteuil traine le gilet duveteux en laine mohair blanche, ample à souhait, dans lequel j'ai plaisir à m'enrouler. Complice de mes réflexions, partenaire de ma concentration, il me protège des frissons qui m'envahissent insidieusement au rythme des mots qui s'alignent. Sur le bureau, un carnet griffonné, un dictionnaire encore ouvert, une pile de dossiers qui s'accumulent, une collection de stylos aux pointes variées, des courriers en attente, une théière et sa tasse qui s'impatientent sont les indices de mon univers littéraire. Sur la droite, deux tiroirs : dans le premier sont rangés des documents officiels, en ordre militaire.

Le second est le tiroir à mots...

Ce tiroir possède une bibliothèque où des années d'écriture sont classées dans des boîtes-archives. Dans le cœur du tiroir, les derniers textes attendent de connaître le verdict du jugement final, auront-ils la joie de voir le jour ? Ou finiront-ils, à leur tour dans une énième boîte ? Peut-être ressortiront-ils de cette cachette pour connaître une seconde vie et fleurir enfin un album, pimenter un recueil ou séduire une table de nuit ?

Qui sait ?

...

_______________________________________________________

Et parmi eux, le chant du troubadour volette avec le papillon jusqu’au fond des temps porté sur l’aile du vent. Il plonge dans l’enfance des autres avec un charme inconnu venu de l’Au-delà et l’on a l’impression que l’écho répète :

Ze te l’avais bien dit !

À cinq heures du matin, c’est Pomponette qui démarre les hostilités par une symphonie de miaulements impatients : je me lève encore ensommeillée et titubante, sans lunettes ni pantoufles, longer le couloir, traverser le salon pour atteindre la porte-fenêtre. Et là, bing, je cogne mon pied nu dans celui de la table basse ! Pendant que je me masse l’orteil endolori, j’entends Renaud me fredonner sa chanson « Pochtron » et me confier à l’oreille : « Ça m’a fait mal jusque dans ma montre ». Pour la punir, demain je couperai les pieds de la table. J’ouvre enfin la porte pour libérer la minette qui jette un bref regard vers la terrasse fouettée par le marin et repart vite fait se recoucher dans son panier pour éviter d’affronter la pluie. Je lui lance un regard venimeux et lui promets un stage dans le chenil du voisin où la meute de Beagle lui fera regretter d’être un félin capricieux. Je me recouche avec mes idées assassines, mais, quand même, elle est bizarre, Pomponette, ces jours-ci, elle s’est arrondie et son caractère a changé. Elle n’a que huit mois mais si elle continue ainsi il faudra la rationner sur les croquettes. Je prendrais rendez-vous chez le vétérinaire afin qu’il me conseille. Pour le moment, je m’enroule dans ma couette, lorsque j’entends une petite voix :

─Maman, z’ai soif.

Pas gagné, pour l’orthophoniste…

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Au numéro 82 vit un couple bizarre… En passant par la montée du stade, on arrive chaque fois devant leur maudite ouverture et c’est celle-ci qu’elle craint :

La fenêtre aux escargots

Normalement, les escargots ne me font pas peur, mais là, l’expression de mon frère, lorsqu’il en parle, me met en panique, c’est incontrôlable. Derrière la fenêtre, je suis sûre, se trouvent des escargots énormes, féroces et cruels, capables d’attraper une petite fille. Ils ont un corps tout gluant, aussi, même si je me débats, leurs cornes vont s’agiter telles des tentacules et leur bave va m'empoi-sonner d'un venin paralysant. Par leur fenêtre, ils doivent nous surveiller, m'observer et m'examiner comme une future proie car c'est toujours moi qui me fais prendre quand on joue au "loup glacé". Ils attendent le meilleur moment pour lancer l'attaque. Si je ne les regarde pas, ils ne verront pas que j'ai peur. Je suis sûre qu’ils réagissent de la même manière que les chiens, Papa me dit souvent qu'ils ressentent notre peur, qu'ils l'interprètent comme une menace et certains chiens mal équilibrés peuvent mordre dès qu'ils perçoivent notre malaise. Si je marche devant leur fenêtre avec l'air de me promener sans montrer aucune crainte, alors ils ne m'attaqueront pas.

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Suivez le conducteur de ce drame, il a repris le volant, c’est lui qui va la guider malgré les années et l’important ce n’est ni la rose ni le ruban qui défile sous ses roues : alors qu’espère-t-il dans cette fuite sans…

Le sourire de Lucienne.

Pour nous laisser du temps, dans l'éventualité que ce soit réellement le bon jour, ce matin, avant de quitter ma chambre, j'avais laissé un mot sur la table : " Ne vous inquiétez pas, je l'emmène à Fontaine de Vaucluse".

J'avais déjà repéré que le minibus réservé aux excursions restait garé tout près de la sortie de secours. Chaque lundi, Isabelle conduisait le véhicule et emmenait un petit groupe dont je faisais souvent partie, constitué de quatre ou cinq personnes parmi les plus valides, pour se rendre au marché hebdomadaire. Je me sentais prêt, Lucienne était en forme, si on peut dire et la direction avait autorisé sa sortie par cette belle matinée au ciel dégagé. Le jour idéal me dis-je. Discrètement, j'avais emporté un gros gilet supplémentaire pour qu'elle n'ait pas froid et je m'étais moi-même habillé en prévision de la chute de quinze degrés à laquelle je nous destinais.

Nouvelle grand prix de la Ville d’Aubagne

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30 mars 2016 3 30 /03 /mars /2016 23:18
Sans Blague ! Danyel Camoin  écrit des scènes comiques et voilà le recueil !
Sans Blague ! Danyel Camoin  écrit des scènes comiques et voilà le recueil !
Sans Blague ! Danyel Camoin  écrit des scènes comiques et voilà le recueil !
Sans Blague ! Danyel Camoin  écrit des scènes comiques et voilà le recueil !
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Sans Blague ! Danyel Camoin  écrit des scènes comiques et voilà le recueil !

Sans Blague ! Danyel Camoin écrit des scènes comiques et voilà le recueil !

Le dernier livre de Danyel Camoin

Un livre pour rire : sans Blague !

Est-ce que des gens ont envie de rire? Besoin ? peut-être ?

Place à l'interview !

 

Questions de l’entretien : Sans blague !

 

 

1 Présentation de l’auteur :

Pouvez-vous vous présenter en précisant votre résidence, la nature de vos écrits, vos rapports avec l’association, depuis quand écrivez-vous ?

Danyel Camoin, j’écris depuis l’âge de treize ans sur tout ce que j’ai sous la main, j’ai dû user plus de stylos que de papier toilettes, j’écris en essayant d’écrire bien, mais ce qui me pilote c’est l’imaginaire, mon écrit, c’est l’évasion, une façon d’échapper au monde pourri de l’argent, j’habite à Aubagne en Provence où nous avons créé, ma compagne et moi avec deux amis l’association Provence-poésie dont je suis le président.

 

2 Comment êtes-vous venu à l’écriture ?

Quelles sont vos principales sources d’inspiration ? Avez-vous des auteurs fétiches, des sources d’inspiration, des correcteurs, des livres de chevet ? Avez-vous participé à des concours ?

Principalement le cinéma est ma source : je suis né dans un cinéma de quartier pendant un western et j’ai concouru au Monsieur Cinéma de Pierre Tchernia : auteurs plus que fétiches Maurice Leblanc créateur d’Arsène Lupin, Maupassant et sa parure presque à ma même belle époque et puis pour la poésie : Brassens, des idoles ! J’ai participé à des concours toute ma vie et c’est grâce à un concours que j’ai été édité la première fois. Depuis j’ai écrit vingt-cinq bouquins et ce n’est pas fini.

 

3 Présentation du dernier livre :

Thème, pages, prix, disponibilité, donnez-nous envie d’acheter votre recueil ?

Le dernier livre est à la fois un exploit et un spectacle car la plupart de ses textes recueillis je les ai écrits  pour les jouer en scènes avec les amies de l’association et je n’ai jamais auparavant (excepté pour mes fables) écrit des nouvelles d’humour courtes. Sans Blague c’est un petit livret  pas cher qu’on peut lire vite ou doucement ou relire juste pour rire ou sourire.

 

4 Souhaitez-vous passer un message aux lecteurs ? Quelle sorte de message avez-vous à passer ? Que transmettez-vous au lecteur ? (événements, actualités, peine, état d’âme …)

D’habitude je fais tressaillir par le fantastique du futur ou l’intensité du drame, là, mes copains disparus m’ont démontré que le monde a besoin de rire ! En leur rendant hommage j’ai emprunté leur piste…Mais on n’y rit pas bêtement, c’est de l’humour à la Devos, Raynaud ou Allais. Vous y reconnaîtrez sûrement quelques voisins.

 

5 Avez-vous une autre vie en dehors de l’écrit ? Peut-on pénétrer dans une intimité différente ? (choix des meubles, jardinage, bricolage, peinture, mécanique, etc…)

Une autre vie, j’avais essayé de cultiver l’amour mais on manque d’arrosage en ce sens

Alors je vais au cinéma ou je bricole mais avec les stands, les lectures spectacles et les aide à l’édition de l’association, il ne me reste guère de temps.

 

6 Que souhaitez-vous dire à ceux qui vont acheter votre livre ?

Je pense que mes lecteurs habituels ne vont pas m’y reconnaître quoi que je m’étais défoulé dans les fables et les contes modernes mais ceux qui vont l’acheter ne le regretterons pas.

 

7 Auriez-vous un texte ou un extrait de texte rapide à lire pour clôturer l’entretien ?

En voici un extrait : Les poètes, tu parles ; une larme qui court sur la joue : a-t-on jamais vu une larme à quatre pattes ? Elle aurait les genoux dans l'eau, ma foi.

La femme qui te demande de sortir ton oiseau, que dirait-elle si tu partais promener le canari ? Et si elle dit de prendre la porte, doit-on emporter la menuiserie ? Nullité, ces images. Nullité.

On dit que c’est pour embellir la vie... À quoi bon ? La vie n'a pas de miroir.

Et puis les miroirs magiques, c’est nul aussi ! Tu vois un miroir dire à une femme qu’elle est la plus belle quand il lui montre ses points noirs ou ses rides ?

Eh ! On ne voit pas le temps passer, les femmes avec leurs balais et leurs plumeaux et nous à lire le journal… Et ce matin, je n’ai même pas eu le temps de le lire !

 

Entretien créé par Gaël Angélis

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21 mars 2016 1 21 /03 /mars /2016 23:25
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
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Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !
Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !

Notre première remise des prix en musique avec Alain et Jean-Paul !

Le 19 mars consacrent quatre espoirs de la nouvelle, mets Erine Lechevalier dans les gagnantes, et honorent cinq autres lauréats sous la présidence de Jean-Claude Colay .

Hélène Tric, Adjointe au maire, et Valérie Morinière, déléguée à la vie Associative, représentant la mairie, remettent les coupes aux lauréats medaillés par le président de l'association.

Brigitte Jean Triomphe avec Le sourire de Lucienne et le grand prix de la Ville d'Aubagne

coupe du Maire, médaille du conseil général, livre du conseil régional, diplôme de Provence-poésie, recueil des dix lauréats, médaille d'Aubagne offerte par Georges Corradi (également dans le jury), 50 euros en bons d'achat et le chèque bancaire de 100 euros + un droit de publication dans le prochain recueil de groupe de l'association.

Corinne Falbet-Desmoulin la suit avec Evasion et le deuxième prix comprenant une énorme coupe de la région, recueil, diplôme, 20 euros en bons d'achats et un chèque de 50 euros.

Erine Lechevalier et son Parfum d'indépendance en troisième prix (chèque 40 euros).

Pascale Bouchet-Falco, la vie ne tient qu'à un fil, quatrième prix (coupe et médaille)

Et la plus jeune, quinze ans, Elsa Millon-Fauré prix d'honneur de Provence-poésie pour Histoire de cafards, coupe, diplôme, bon d'achat, recueil, médaille jeunesse et félicitations.

Derrière eux : Maïté Rochas grâce à Elzéa prend le premier accessit

et Henri Mahé le deuxième pour Chloé des collines

Trois mentions pour Jeanne Champel-Grenier, absente, (Oeil pour oeil) Sonia Kitaëff (Un braqueur peu ordinaire) et Bernard Vitiello (Treize)

Présentation des membres du jury présents: Isabelle Sachot- Michel Péralès-Daniel Glize

(absents outre G.Corradi déjà cité, Claude Jégo et Joëlle Solari )

Hors concours : médaille de participation à l'association pour Mauricette Buffe et Yves Ravel.

Cadeaux aux participants présents: Janine Ravel, Emilie Coignard, Valérie Lagier, Josette Deydier, Alice Marini, Geneviève Casaburi, Zaven Sarafian, Jean-André Margossian.

Article FZ

Photos Yves Ravel

Brigitte Jean - Corinne Falbet-Desmoulin et Elsa Millon-Fauré... Des espoirs de la nouvelle ?
Brigitte Jean - Corinne Falbet-Desmoulin et Elsa Millon-Fauré... Des espoirs de la nouvelle ?

Brigitte Jean - Corinne Falbet-Desmoulin et Elsa Millon-Fauré... Des espoirs de la nouvelle ?

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21 mars 2016 1 21 /03 /mars /2016 22:23
Les projecteurs montages de scènes d'après les textes du livre : Sans Blague et ceux interprétés par Joseph Lévonian au Théâtre

Les projecteurs montages de scènes d'après les textes du livre : Sans Blague et ceux interprétés par Joseph Lévonian au Théâtre

Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.
Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.

Ils sont venus pour l'hommage à Joseph soit en spectateurs soit pour participer et quelques auteurs ont dédicacé.

C'était le 19 mars : peut-être de là-haut Joseph a-t-il assisté à sa fête (Saint-Joseph) en musique et texte : Denise Biondo a animé un nouveau spectacle de lecture théâtrales où Jean-Claude Colay et Danyel Camoin (en curé) parmi une quinzaine de participants ont rendu en direct un vibrant hommage de textes, applaudi par le public, avant que Michel Isard, Edouard, Alain et Jean-Paul ne déclenche pour lui musique et chants.

Quelques auteurs présentés par Danyel ont dédicacé à plusieurs reprises, payés en partie par des bons d'achat de l'association : plus de 100 euros de bons ont été remboursés.

Flora Del Sol et Paul Di Giovanni étaient plébiscités auprès de Joëlle Foin, Joëlle Solari remplacée par Geneviève Casaburi.

Jean-André Margossian et Yves Ravel Gagnants du tirage au sort.

Rendez-vous le 18 juin pour un hommage semblable au regretté Francis Triay avec des textes et des chants de Jean Ferrat.

Article FZ

Photos Yves Ravel

Extrait de la lecture-spectacle en hommage à Joseph :

Hier encore, j’avais deux amis, comme dirait Eddy

Le premier s’appelait Francis, on en reparlera en juin

Hier encore, j’avais deux amis

Et l’autre s’appelait Joseph !

Avec le temps...

Avec le temps va tout s'en va

On oublie le visag' et l'on oublie… la voix

Le cœur quand ça bat plus c'est pas la pein' d'aller

Chercher plus loin, faut laisser fair' et c'est très bien

Avec le temps...

 

 Alain continue en musique le générique : avec le temps (musique uniquement)

Danyel et Denise, le metteur en scène et la vedette, récitent à deux le texte de Joseph sans aller jusqu’au bout …

 

Moi, Joseph, je suis un projecteur !

De ma belle carcasse de fer

Ou bien noire ou bien grise

Jaillit le jour, jaillit l’étoile… Qui me grise.

 

Moi, Joseph, je suis un projecteur !

De ma belle carcasse de fer

Ou bien noire ou bien grise

Jaillit le jour, jaillit l’étoile… Qui me grise.

 

Moi, je suis la lumière de l’aube, froide…

Moi, je suis la clarté du soir, chaude…

Et sur le décor

Nous dessinons des reflets d’or

Voulez-vous du bleu nuit que je cache?

Du rose ambré, du vert pistache ?

 

Il ne faut pas vous alarmer

Il suffit de nous allumer !

Alors, acteurs, sous nos carcasses de fer

Venez recevoir nos douches de lumière ! (arrêt )

 

Interprétation : Denise et Danyel

Musique : les comédiens d’Aznavour par Alain (extrait sans chanter))

 

A la fin d'une série de scènes...

Le metteur en scène vêtu en curé réapparaît sur le plateau…

 

Dédié à Joseph : le curé  (de Danyel Camoin)

 

- Et où vas-tu habillé ainsi ?

- Beh ! Je répète pour le curé de Cucugnan !

- C’était le rôle de Joseph, tu trouves que tu lui ressembles ?

- Ben, avec un oreiller pour faire un peu plus de ventre…

-Joseph avait un oreiller ?

-Ah ! non, justement, quant il entrait en scène il disait ne pas en avoir besoin !

Mais je ne suis pas Joseph…

- Alors ?

- On est là pour son hommage, non ?

- Ouais, mais ton sourire n’est pas de circonstance…

- C’est ce que Verneuil avait dit à Joseph sur le tournage de Mayrig !

- Henri Verneuil ?

- Oui, Joseph était un figurant et nous rappelait souvent qu’il avait dansé avec Claudia Cardinale sur ce tournage, seulement pour les réfugiés arméniens, le sourire était de trop !

- Evidemment mais Joseph était un bon vivant… et il faisait rire !

- Il suffisait qu’il apparaisse : un charisme à la Fernandel !

- Que tu n’as pas, toi ! Et s’il était là maintenant… qu’est-ce que tu lui dirais ?

- Je lui dirais en espérant qu’il nous entend de là-haut :

 

Tu aurais pu, mon vieux Joseph
Rentrer chez toi
Encore un’fois
Disons que c’est fatalité…

Si l’on pleure notr’ amitié.

Voilà c'que c'est, mon vieux Joseph

Que d’avoir pris habitude

De ton sourire parmi nous

Ton absence nous est rude,

Ton départ a creusé un trou…

 

Musique : Joseph de G. Moustaki par Alain

Interprètes : Jean- Claude et Danyel en curé

 

Retour du metteur en scène et de sa vedette

 

Final :  A Joseph :

 

Pour Joseph, nous sommes des projecteurs !

Et savez-vous que longtemps après le spectacle

Nous vivons encore dans le silence du théâtre ?

Ecoutez-nous. Je craque longtemps…

Je grince en me refroidissant.

Et ce soir, si nous sommes saltimbanques

(ensemble) C’est pour dire à Joseph, qu’il nous manque.

Et nous vous remercions tous de votre participation…

 

Salut final  Denise et Danyel

suivi du générique Avec le temps par Alain

Et de l’appel des partenaires pour saluer le public...

 

 

 

 

 

 

 

 

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15 mars 2016 2 15 /03 /mars /2016 15:28
Trois nouveaux visages de lauréates dans Provence-poésie cette année l'une des trois aura peut-être le grand prix de la ville mais près d'elles sept autres lauréats dont Erine Lechevalier l'espèrent aussi...
Trois nouveaux visages de lauréates dans Provence-poésie cette année l'une des trois aura peut-être le grand prix de la ville mais près d'elles sept autres lauréats dont Erine Lechevalier l'espèrent aussi...
Trois nouveaux visages de lauréates dans Provence-poésie cette année l'une des trois aura peut-être le grand prix de la ville mais près d'elles sept autres lauréats dont Erine Lechevalier l'espèrent aussi...

Trois nouveaux visages de lauréates dans Provence-poésie cette année l'une des trois aura peut-être le grand prix de la ville mais près d'elles sept autres lauréats dont Erine Lechevalier l'espèrent aussi...

Non seulement Provence-poésie sort le livre Plumes de Provence où Denise Biondo vous entraîne sur le temps des silences, avec quelques plumes qui méritent considération même si elle n'ont pas remporté les coupes, et rend hommage au regretté Joseph Lévonian pour la St Joseph le 19 mars mais en plus c'est ce jour-là que Denise présentera à la mairie et à La Provence les lauréats du concours Fantastique Provence avec l'autre recueil.

Parmi la sélection des noms connus et des surprises, un cadeau à tous les participants présents à la remise des prix et spécialement à ceux qui étaient proches de la sélection.

Et bien sûr coupe, diplôme, médaille, livres, recueil attritré, bons d'achats pour les dix sélectionnés avec en plus chèque pour les premiers.

Derrière une heure de spectacle avec des textes tirés de nouvelles d'auteurs de l'association et d'une nouvelle d'Alphonse Allais associés à des scènes jouées par Joseph Lévonian et un tirage au sort pour gagner un livre (ticket pour 1 euro symbolique à l'entrée) le président du jury annoncera les gagnants. Grosse responsabilité pour Jean-Claude Colay (qui succède à Jean-Claude Beltramo) et son jury 2016 (les gagnants de l'an dernier : Joëlle Solari- Michel Péralès-

Claude Jégo, la représentante de la Médiathèque d'Aubagne : Isabelle Sachot, le poète de l'UTL : Daniel Glize et l'historien aubagnais : Georges Corradi )

Nous ne pouvons citer tous les auteurs chevronnés ou plus ou moins en herbe qui ont participé au concours mais dans les favoris, on remarquera par ordre alphabétique : Pascale Bouchet-Falco /Jeanne Champel -Grenier/ Corinne Falbet- Desmoulin / Brigitte Jean / Sonia Kitaëff / Erine Lechevalier / Henri Mahé / Maïté Rochas / Bernard Vitiello et une jeune nouvelliste qui fera la surprise du jour.

Résultat final le 19 mars après la lecture-spectacle :

Sur la scène auprès de Denise Biondo : Sonia Kitaëff-Michel Isard-Guy Feugier- Alain d'Aix-Mauricette Buffe-Joëlle Foin-Yves et Janine Ravel- Monique et Jacky - Edouard Rostain- Geneviève Casaburi - Zaven Sarafian- Philippe-Auguste Malsheres

Venez nombreux applaudir les dix lauréats et pourquoi pas tous les participants présents.

Vous pourrez aussi parler aux auteurs qui sont invités à dédicacer à nos tables :

Joëlle Foin, Flora Del Sol, Paul Di Giovanni, Joëlle Solari, Christine Lubrano

et apprécier les chanteurs ( Edouard et Michel Isard ) au final avant le verre de l'amitié offert

par Jean-André Margossian et Jean-Claude Colay.

ainsi qu' Alain et Jean-Paul chargés d'accompagner tout l'après-midi en musique.

Le nouveau recueil du concours de nouvelles de Pp sur les tables de la remise des prix le 19 mars 2016 lors de l'hommage à Joseph Lévonian ex président du premier jury.
Le nouveau recueil du concours de nouvelles de Pp sur les tables de la remise des prix le 19 mars 2016 lors de l'hommage à Joseph Lévonian ex président du premier jury.

Le nouveau recueil du concours de nouvelles de Pp sur les tables de la remise des prix le 19 mars 2016 lors de l'hommage à Joseph Lévonian ex président du premier jury.

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11 mars 2016 5 11 /03 /mars /2016 13:09
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
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Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis
Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement  à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis

Mettre en scène un texte ce n'est pas toujours facile mais c'est ce que nous faisons depuis 2010 et ce livre est un peu un remerciement à ceux qui nous ont aidé et surtout à Joseph et à Francis

Est-ce que je suis un écrivain qui prend de la hauteur ou plutôt un auteur qui présente des écrits vains ?

Si pour moi l'absence garde un sens, le sens de certaines absences m'échappe...

Et si mes écrits consacrent notre temps, je n'ai que peu de temps à consacrer à mes écrits.

Danyel Camoin ou Frank Zorra

Qui a écrit ces pensées-là ?

Vous pourrez peut-être trancher quand vous vous en serez payé une tranche dans le recueil de textes attaché aux lectures-spectacle de Provence -poésie : à partir du 19 mars sera édité

Sans Blague, recueil pour ceux qui ont aimé rire à ces lectures ou ceux qui n'y ont pas assisté.

Danyel Camoin, pour rire ? Sans blague !

Et pourtant assisté par Brigitte Jean, Christine Lubrano, Joëlle Solari et Geneviève Casaburi

Le recueil va voir le jour dédié à Francis Triay et Joseph Lévonian.

Si vous voulez en rire, c'est à portée d'un bon d'achat de 10 euros offert à l'occasion du concours.

Et à vos sourires !

Poutounades !

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5 mars 2016 6 05 /03 /mars /2016 11:25
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...
Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...

Plusieurs auteures adhérentes de Pp éditions pour dédicacer aux doigts d'or le dimanche 13 mars...

Provence-poésie éditions annonce la présence de certains de ses ouvrages aux doigts d'or à La Destrousse dimanche 13 mars (certains aussi samedi 12).

Denise Biondo- Geneviève Casaburi- Janine Ravel -Joëlle Foin -Flora Del Sol

(entre autres car les doigts d'or présentent aussi d'autres ouvrages hors littérature)

pourront dédicacer leurs œuvres éditées ou non par Pp éditions...

Voici les livres de Pp pouvant être dédicacés aux doigts d'or :

Au bout des doigts (Denise Biondo) - Plumes de Provence (Denise Biondo-Janine Ravel- Geneviève Casaburi)- Entre deux eaux- (Denise Biondo- Geneviève Casaburi- Janine Ravel) Les fantômes de Marseille ( Geneviève Casaburi- Joëlle Behez)- L'impossible crime- (Geneviève Casaburi - Christine Lubrano) Ecrit en quatre temps (Janine Ravel)- Entre terre et ciel (Janine Ravel) Les messagers de l'instant (Joëlle Foin )...

Parmi les adhérentes de l'association présentes à cette journée insistons sur Flora Del Sol, qu'on retrouvera avec Denise Biondo et Joëlle Foin sur les tables de Provence-poésie le 19 mars pour dédicacer leurs œuvres entre les lectures.

pour vous Mesdames !

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29 février 2016 1 29 /02 /février /2016 18:47
Le troisième repas de l'association a groupé 27 personnes pour le 28 février 2013 dans la salle de l'Origan à Roquevaire
Le troisième repas de l'association a groupé 27 personnes pour le 28 février 2013 dans la salle de l'Origan à Roquevaire
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Le troisième repas de l'association a groupé 27 personnes pour le 28 février 2013 dans la salle de l'Origan à Roquevaire

Vingt sept pour le vingt-huit c'est le nombre exact réunis à Roquevaire par le double apéritif- olives-feuilletés-pizza offert par l'association aux convives du repas de l'association au restaurant l'Origan.

Un tirage au sort des noms octroyait un petit cadeau à deux d'entre eux avant que n'arrivent les menus : chèvre chaud ou escargots suivis de bourride ou joue de boeuf puis de l'omelette norvégienne flambée au Garlaban et du café.

Après le repas près de deux heures de lecture, interprétation, centon (et chanson : Joëlle Foin et Michel Péralès).

De midi à dix-sept heures trente, une joyeuse rencontre entre les adhérents et quelques nouveaux visages.

Organisation : Denise Biondo

Photos : Yves Ravel

report : FZ

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