Un « moi profond » et différents niveaux de conscience
Dans son numéro 157, la revue littéraire « Florilège »* présente une très intéressante critique du livre « Les comptes de l’amour » de François LÉGER.
Une réflexion d’autant plus intéressante que l’auteur de celle-ci n’a pas manqué de voir certains personnages de cet ouvrage à la recherche de leur « vrai moi », du regard des autres, en insistant sur ce qui est essentiel : « Tous les personnages de ce roman diffèrent les uns des autres < entre deux niveaux de conscience > parfois sans le moindre état d’âme… ». Le critique met ici le doigt sur ce qu’a voulu livrer au lecteur l’auteur de cet ouvrage : un livre à deux niveaux de lecture…
Et de laisser le mot de la fin à Paul Valéry : « Chaque personne est un jeu de la nature, jeu de l’amour et du hasard ». Comment l’auteur de l’ouvrage pourrait-il ne pas être comblé par une telle conclusion ?
Pour mieux connaître François Léger qui ne se contente pas d'être un auteur mais est aussi journaliste, membre de la société des Gens de Lettres, académicien de Provence, et écrit des articles sur les autres auteurs en publiant sur son blog les concours et les remises de prix, entre autres, la dernière des nôtres, Provence-poésie dans l'attente d'un lien direct vous invite à le rejoindre sur....
www.legerfrancois.canalblog.com
Dans la lignée de ses auteurs invités après (entre autres) Guy Feugier, Alice Hugo, Martine Robustelli-Neu, Lucien Vassal, Jean-Yves Calassi, Claude Iconomou et bientôt Paul Di Giovanni, Provence-poésie projette d'accueillir sur ses tables François Léger, auteur dont le récent ouvrage paraît intéressant au vu de sa présentation par Florilège qui laisse le mot de la fin à Paul Valéry.
FZ