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9 mars 2020 1 09 /03 /mars /2020 14:28
La gent féminine domine cette année la remise de prix du concours national...
La gent féminine domine cette année la remise de prix du concours national...
La gent féminine domine cette année la remise de prix du concours national...
La gent féminine domine cette année la remise de prix du concours national...
La gent féminine domine cette année la remise de prix du concours national...
La gent féminine domine cette année la remise de prix du concours national...
La gent féminine domine cette année la remise de prix du concours national...
La gent féminine domine cette année la remise de prix du concours national...
La gent féminine domine cette année la remise de prix du concours national...
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La gent féminine domine cette année la remise de prix du concours national...
La gent féminine domine cette année la remise de prix du concours national...
La gent féminine domine cette année la remise de prix du concours national...

La gent féminine domine cette année la remise de prix du concours national...

Un lauréat de l'an dernier amuse les lauréats de cette année avec le corbeau.

Alors que, pendant trois ans, précedemment le grand prix de la ville d'Aubagne était remis à des hommes : Daniel AUGENDRE, Zavèn SARAFIAN et Michel TOCHE,  cette année Dominique BAUDOUIN remporte une écrasante victoire en plaçant sa nouvelle : D'encre et de sang devant 100 autres nouvelles et pas des moindres ! Non seulement cela  mais avec une moyenne donnée par le jury final nettement au dessus des autres, D'encre et de sang et Le cercueil des vivants dominent la remise des prix.

Et là, un coup de coeur du président, la deuxième gagnante  : Lauralie ALFONSI, (05) malheureusement absente au dernier moment de la remise des prix,(voir le sous-article qui lui est consacré ci-dessous) n'a que treize ans et demi.

Derrière elles , une retrouvaille, déjà deux fois gagnante dans ce concours dont en 2014 pour le grand prix de la ville, on retrouve Mélanie REVILLA (48)(pour sa nouvelle : Tout contre toi) : un beau tiercé !

N'oublions pas les autres car 12 nouvelles choisies parmi 101, cela se chiffre remarquablement et comme l'a dit le président, ils méritent tous des félicitations.

Elie NICOLOPOULOS  pour le Discours (deuxième fois lauréat)

Guy AMSALLEM  pour Les maux des mots (86 ans)

Marina MENGUAL (77) pour Vers un monde meilleur (15 ans)

Michel CAHOUR  pour La sortie  (troisième fois lauréat)

Patrick LEIDET  pour L'erreur est Inhumaine

Bernard ROYER (83) pour Retour aux sources

Hélène MAGRON   pour Dimitri

Emilie COIGNARD  pour Les cinq doigts de la main (troisième fois lauréate)

Martine BONTOUX pour  Le vrai Pouvoir (deuxième fois lauréate)

Nos félicitations renouvellées à Tous après un grand Bravo par l'accordéon !

 

Dans la photo de groupe, Marina MENGUAL (15 ans) et Guy AMSALLEM (86 ans) n'est ce pas inter génération ?

 

(voir la photo du groupe: toutes les photos ne sont pas encore disponibles et l'article n'est pas forcément complet)

Photos Bernard Oursinus

Article FZ

Lauralie ALFONSI (deuxième photo) est dans le  05 à  La Bâtie-Vieille.

Regrettant son absence involontaire à la remise des prix, elle adresse au jury ses remerciements et ces quelques mots de présentation.

"Âgée de 13 ans et demi, je suis actuellement scolarisée à Gap en 3ème. Passionnée de littérature et grande lectrice, j'ai commencé à écrire des petits récits puis des nouvelles et des poésies à l'âge d'environ 8 ans. Je suis actuellement en train d'achever mon premier roman qui va paraître prochainement. J'apprécie particulièrement la littérature fantastique mais mes goûts sont assez éclectiques et je m'intéresse aussi aux auteurs contemporains. Je suis par exemple une grande admiratrice d'Amélie Nothomb ou des écrivains des petits bonheurs quotidiens comme Philippe Delerm. J'apprécie également de lire des livres de philosophie. Dans l'avenir, je souhaite être professeure de français et écrivain en parallèle, une double vocation qui me permettrait de transmettre ma passion des mots aux jeunes et peut-être de contribuer à accomplir un rêve qui serait de leur redonner la passion de la lecture, dans notre société très "technologique".

Ceux qui veulent avoir un aperçu de son talent peuvent lire dans le recueil de la fête des mots :  Le cercueil des vivants.

Voir ci-dessous en parution son roman :Les anneaux de l'inspiration.

 

Dominique BAUDOUIN,  Aix en Provence, gagnante du grand prix de la ville d'Aubagne, vous parle :

"A cinq ans, j’ai appris à lire. Et le monde s’est éclairé.

Depuis, pour la littérature, j’ai une vraie passion, ou plutôt, je l’avoue, une addiction qui n’a jamais faibli. Au point que j’ai choisi de l’enseigner pendant plus de vingt ans. Mes auteurs préférés : Maupassant pour le cisèlement des mots, Proust pour la profondeur de l’analyse et la peinture de la haute société de la fin du XIXème siècle, mais aussi Céline pour le choc de l’écriture, Rimbaud pour la modernité, Duras pour la musicalité si particulière de son phrasé. Et puis… la littérature anglo-saxonne, avec ces romanciers géniaux qui nous embarquent dans les méandres de leurs histoires si bien orchestrées.

Parallèlement j’ai toujours beaucoup écrit : des poèmes, des chansons, des nouvelles… qui sont restés dans mes tiroirs jusqu’à très récemment. C’est en 2018 que j’ai eu l’idée d’un dialogue « philosophique » entre cinq amies de plus de cinquante ans persuadées que leur vie amoureuse était devant elles. Ce fut le déclic. La publication de mon premier livre Poursuivons l'aventure ! a dynamisé mon inspiration. Puis, Provence Poésie m’a donné l'envie et l’audace de présenter ma nouvelle au concours de la ville d’Aubagne. Aujourd'hui, j’achève un recueil de poèmes, et j’ai vraiment envie de continuer à écrire de la fiction."

 

FZ

 

Le roman de Lauralie ...

Le roman de Lauralie ...

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9 mars 2020 1 09 /03 /mars /2020 14:27
la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix  du 10 e concours.
la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix  du 10 e concours.
la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix  du 10 e concours.
la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix  du 10 e concours.
la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix  du 10 e concours.
la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix  du 10 e concours.
la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix  du 10 e concours.
la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix  du 10 e concours.
la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix  du 10 e concours.
la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix  du 10 e concours.
la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix  du 10 e concours.
la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix  du 10 e concours.
la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix  du 10 e concours.
la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix  du 10 e concours.

la fête des mots 7 mars 16 h spectacle de lectures animées et remise des prix du 10 e concours.

Le 7 mars, avant la remise des prix du 10 e concours de nouvelles des auteurs en pays d'Aubagne, vers 16 h avait lieu la fête des mots avec nos partenaires et Edouard, présentée par Denise Biondo  avec à l'entrée Fériel, étudiante bénévole à Provence-poésie et Micheline DAOU de retour parmi nous.

Dans le jury final 2020 : Isabelle SACHOT de la médiathèque, Daniel GLIZE de L'UTL, Chris BERNARD, président de Portique (Drôme), Jeanne SOLE, Michel TOCHE, gagnant de 2019 et Claudie CANU, présidente.

Le spectacle tournait autour des nouvelles de nos précédents candidats au concours et notemment, Jeanne Solé,( tempo) Joëlle Foin (Noël Marie), Clhoé Denayer ( le passager du train) et Christian Tringa  (La scoumoune) et des textes de Guy de MAUPASSANT (Le Moulin, Les Tombales, Terreur. et l'Oiseleur interprété en duo par Fériel et le président ).

L'accompagnement musical à l'accordéon était d'Alain VERRIEZ.

Sur le rideau noir sur chacune des lettres de MOTS trônait une photo des quatre nouvellistes dont le texte était répercuté en scène et tous les textes se classaient  derrière l'initiale dans l'ordre  : M.o.t.s. ; les lettres étant supportées en caractères plus gros par quatre partenaires.

Parmi le M, "Mario et sa marionnette" par Christian TRINGA et Christine sur les traces de MAE : ça fait mal !, parmi le O "l'orage" de Brassens par Patrick et parmi le T, "Dans le train" en coup de chapeau au doyen de l'association : Emile MIHIERE, 97ans et dix ans dans l'association, par Dominique, Sonia et Danyel, puis regroupant les quatres lettres en initiales un texte qui a amusé la salle : "Maître Olive Très Seul" . (Texte en fin d'article)

 Jeanne SOLE,  membre du jury concours, était présente dans le spectacle pour apprécier le visu scénique de son écrit : Tempo.

La remise de prix était accompagnée du prix de participation à l'association  cette année ; Joëlle SOLARI et Edouard ROSTAIN remportaient la médaille de Frédéric MISTRAL jointe au diplôme, et de nombreuses récompenses aux participants présents proches des lauréats par leur résultat :   Sonia KitAEFF, Zavèn SARAFIAN, Christian TRINGA  et quelques autres recevaient une médaille  porte-clef à l'effigie de Frédéric MISTRAL et des bons d'achats.

Cette année exceptionnellement douze lauréats dont deux de moins de dix-huit ans pour fêter les dix ans du concours et de nombreux bons d'achat ajoutés aux trois chèques des trois premiers.

Denise BIONDO et Claudie CANU accompagnées de Monsieur Philippe AMY, adjoint au maire, délégué à la Culture et Valérie MORINIERE, conseillère municipale déléguée à la vie associative, représentant la ville d'Aubagne donnaient les prix après le spectacle.

Un livre gagné par la mère d'une lauréate,  durant l'entracte, et des chansons pour clôturer l'après-midi  par Dominique BAUDOUIN et Edouard avec le verre de l'amitié vers 19h.

Distribution de recueils complémentaires et validation de bons d'achats près des auteurs.

Dominique BAUDOUIN (D'encre et de sang) et Lauralie ALFONSI  (Le cercueil des vivants) remportent les grands prix devant une  jeune vétérante, gagnante du grand prix en 2014 : Mélanie REVILLA (Tout contre toi).

Tiercé de Dames pour la journée de la femme 2020. (Voir l'article suivant)

Dix ans de grand prix de la ville : Natacha ROSSO (2011) Gaël ANGELIS (2012) Henri MAHE (2013) Mélanie REVILLA (2014) Joëlle SOLARI (2015) Brigitte BANJEAN (2016) Daniel AUGENDRE (2017) Zavèn SARAFIAN (2018) Michel TOCHE (2019) Dominique BAUDOUIN (2020).

 

 

article en cours

photos et vidéo en attente

 

Maître Olive Très Seul  d’après Danyel CAMOIN (Poutounades)

 

-Tiens, la voiture de la Poste s’arrête devant la porte du moulin…

La factrice (casquette et sacoche) :

-Bonjour Maître Olive, comment ça va ?

-Tout irait bien si je n’étais pas si seul …

-Mais vous n’êtes pas seul puisque je suis là…

-Oui mais vous, ma belle, vous ne faites que passer !

-J’apporte le courrier, maître Olive…

-Oui, je sais, je n’ai jamais eu si belle compagnie, mais vivre dans un moulin…

-Justement on dit entrer comme dans un moulin !

-Oui, eh bien, dans ce moulin, plus personne n’entre…

-Faut faire un peu de publicité ; on visite bien le moulin de Daudet pourquoi pas celui de Maître Olive.

-Parce que celui de Daudet c’était un moulin à vent, avant, avec de grandes ailes, et le mien ce n’est qu’un moulin à huile !

-Mais l’huile, c’est important.

-Mais, céans, les moulins à huile sont devenus modernes et n’utilisent plus les scourtins et les presses à manivelle. Et moi je n’ai plus d’huile ; je rouille.

- Qu’importe, il suffirait d’un fait particulier pour attirer l’attention, la solitude ça n’existe pas, comme dit Gilbert, je vais répandre la nouvelle que dans le moulin vous cachez un trésor…

-Oui, si vous voulez, moi, je vais me reposer en attendant, allez-y…

Il passe derrière le rideau noir. Elle se tourne  en parlant lentement :

Et il en fut ainsi. Quelques jours plus tard, quand je revins, je trouvais Maître Olive mort seul dans le moulin, il avait été assassiné ! Sans doute un malfaiteur avait dû vouloir voler son or et j’ai regretté mon idée. Son seul trésor c’était son huile, le pauvre homme.

Un personnage tout en noir apparaît :

Mais pourtant, le lendemain, le moulin était plein de monde et tous les gens de la petite ville voisine accompagnèrent le défunt au cimetière. Ce fut ainsi que pour son dernier voyage…Maître Olive ne fut pas seul.

interprètes : Danyel en vieux meunier  puis en personnage noir – La factrice : Monique

Les livres présentés en table d'auteurs pour la fête des mots.
Les livres présentés en table d'auteurs pour la fête des mots.
Les livres présentés en table d'auteurs pour la fête des mots.
Les livres présentés en table d'auteurs pour la fête des mots.
Les livres présentés en table d'auteurs pour la fête des mots.
Les livres présentés en table d'auteurs pour la fête des mots.
Les livres présentés en table d'auteurs pour la fête des mots.

Les livres présentés en table d'auteurs pour la fête des mots.

Maé et Mal avec M l'initiale de la fête des MOTS.

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21 février 2020 5 21 /02 /février /2020 13:11
En juin 2017, l'équipe rendait hommage à Jean Di FUSCO, le premier grand poète membre de l'association...
En juin 2017, l'équipe rendait hommage à Jean Di FUSCO, le premier grand poète membre de l'association...
En juin 2017, l'équipe rendait hommage à Jean Di FUSCO, le premier grand poète membre de l'association...
En juin 2017, l'équipe rendait hommage à Jean Di FUSCO, le premier grand poète membre de l'association...
En juin 2017, l'équipe rendait hommage à Jean Di FUSCO, le premier grand poète membre de l'association...
En juin 2017, l'équipe rendait hommage à Jean Di FUSCO, le premier grand poète membre de l'association...

En juin 2017, l'équipe rendait hommage à Jean Di FUSCO, le premier grand poète membre de l'association...

Le 8 novembre 2019, à l'occasion de l'inauguration de la réunion réservée à la lecture libre des adhérents, Vincente CHASTEL et Jean-André MARGOSSIAN, deux gagnants du prix de poésie Jean DI FUSCO pourront avec Danyel CAMOIN déclamer quelques poèmes du capitaine à qui toute l'équipe a rendu hommage en juin 2017, l'année de sa mort, en présence de son épouse. (voir photos)

Jean Di FUSCO, à l'origine d'une chanson de Mireille MATHIEU et de la dédicace du maire de Marseille sur notre "petit guide poétique des trésors de Marseille" pour lequel il a écrit plusieurs textes, reste, pour les anciens de l'association, un spécialiste du sonnet mais avant tout un ami.

Il est le troisième grand disparu de l'association derrière notre conteur-nouvelliste Francis TRIAY (également artiste et potier) et notre interprète théâtral Joseph LEVONIAN (également membre du bureau jusqu'à sa mort).

Beaucoup de nos amis d'hier habitent les nuages mais les disparus ne sont vraiment morts que si on les oublie.

 

 

article FZ

Quelques images de nos précédentes rencontres...
Quelques images de nos précédentes rencontres...
Quelques images de nos précédentes rencontres...
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Quelques images de nos précédentes rencontres...
Quelques images de nos précédentes rencontres...
Quelques images de nos précédentes rencontres...

Quelques images de nos précédentes rencontres...

C'était pour vous souhaiter une bonne rentrée quelques images de nos lectures-spectacles passées en attendant la causerie de Raimu et  des contes dans nos prochaines rencontres en fin d'année.

La partie de cartes -  Un hommage à Carpita- Le rosier de Me Husson- L'indien à l'Artéka-La femme du boulanger- L'histoire du manteau- Le mouton à cinq pattes-On ne voit pas le temps passer- Les naufragés de l'aioli- Amsterdam- Les bonbons- Jeff- La parure- Le papet- Au suivant- L'affaire Blaireau-Au bar de Tonton- Au delà de l'hiver- Un verre de larmes-Le miroir et la poupée- La réplique- Rosy et John- Une femme honnête n'a pas de plaisir- Zorro est arrivé- Salade de fruits-La cuisine au beurre- La grande vadrouille- La bande à Bonnot-La valse à mille temps- La chambre- Le facteur- L'emmerdeur- la demoiselle sur la balançoire - Un crime au paradis- Ouvrez la cage aux oiseaux.

A bientôt

L'équipe de Provence-poésie éditions

Pierre BACHELET et Patricia GRILO ont repris en duo la chanson des vieux amants de Jacques BREL.

Un clic ci-dessous pour écouter...

Denise et Danyel entrent dans les mots de Pierre  Bachelet et Florence Arthaud en hommage de lecture-spectacle  pour le texte : FLO

Pour écouter clic ci-dessous

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10 février 2020 1 10 /02 /février /2020 21:09

extrait de conférence de Bachelet : interview henri Chapier

conférence : la poésie des portées de Bachelet à Marseille
conférence : la poésie des portées de Bachelet à Marseille

conférence : la poésie des portées de Bachelet à Marseille

Provence-poésie soutient la causerie de Danyel CAMOIN au club CAstéropoulos 69 rue Sylvabelle 4e étage tempo sous la présidence de Jehan ARMAGNAC avec la participation de Guy FEUGIER et Edouard.

Cette causerie fait suite à celle faite à Aubagne en juin 2019 et se fera vers 17h15 le 13 février 2020. L'entrée est gratuite.

 

 

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27 janvier 2020 1 27 /01 /janvier /2020 15:25
Jacky, partenaire et ami, au sein de l'association, disparu en janvier.
Jacky, partenaire et ami, au sein de l'association, disparu en janvier.
Jacky, partenaire et ami, au sein de l'association, disparu en janvier.
Jacky, partenaire et ami, au sein de l'association, disparu en janvier.
Jacky, partenaire et ami, au sein de l'association, disparu en janvier.
Jacky, partenaire et ami, au sein de l'association, disparu en janvier.
Jacky, partenaire et ami, au sein de l'association, disparu en janvier.
Jacky, partenaire et ami, au sein de l'association, disparu en janvier.
Jacky, partenaire et ami, au sein de l'association, disparu en janvier.

Jacky, partenaire et ami, au sein de l'association, disparu en janvier.

Provence-poésie consacrait le 17 janvier 2020 une minute de silence pour Jacky. au cours du tour de table qui précédait le partage de la galette des rois de l'association. Jacky, fidèle partenaire s'est souvent illustré au cours de nos lectures-spectacles, seul ou en duo, quelquefois déguisé mais toujours amical.

Patrick Leidet déclamait un poème adressé à Jacky qui faisait écho aux paroles du président avant  qu'Edouard ne lance la chanson : Quand il est mort le poète.

Encore un, de nos amis et partenaires, disparu : notre Zorro !

Il rejoint dans la liste : Joseph Lévonian, Francis Triay, Jean di Fusco, les absents de l'association et avec eux : André Durbec, Marie-Louise Bergassoli, Eloyse Blouet, des grands noms de la poésie environnante.

Mais il n'est, hélas, pas le seul en ce début d'année,  Provence-poésie fait un retour arrière sur un remarquable président d'association, celui de l'Olive et l'Olivier qui nous donna, au début de notre expansion, une ouverture de stand pour étaler nos livres sur le centre d'Aubagne, Jean DAOU fut aussi un de nos premiers membres du jury de concours en 2011 et nous lui adressons un adieu chaleureux au bout de ses derniers moments difficiles. (Obsèques à Aix en Provence, cimetière St Pierre le vendredi 31 janvier à 10 heures)

 

(Article en cours... Voir Photos.)

 

Jean DAOU, président de l'Olive et l'Olivier et jury de Provence-poésie, disparu en janvier 2020
Jean DAOU, président de l'Olive et l'Olivier et jury de Provence-poésie, disparu en janvier 2020
Jean DAOU, président de l'Olive et l'Olivier et jury de Provence-poésie, disparu en janvier 2020
Jean DAOU, président de l'Olive et l'Olivier et jury de Provence-poésie, disparu en janvier 2020
Jean DAOU, président de l'Olive et l'Olivier et jury de Provence-poésie, disparu en janvier 2020

Jean DAOU, président de l'Olive et l'Olivier et jury de Provence-poésie, disparu en janvier 2020

Pour Jean DAOU de la part de Provence-poésie éditions

Pour Jean DAOU de la part de Provence-poésie éditions

JACKI

Je me souviens de toi, qui venais de Bretagne

Sur des airs de binious que la mer accompagne

D’un pays où les hommes ont de beaux chapeaux ronds

Où les coiffes des femmes résistent aux chaperons

Les amarres rompues de Quimper, Vannes ou Brest

Te promettent l’exil pour le ciel du Sud-Est

Et notre terre aride endormie sous le thym

Peut-être t’a séduit pour changer de destin

Contre vents et marées sur une barque folle

Poussé par les embruns, pour une farandole

Tu es venu vers nous en ce pays d’Aubagne

Au pied du Garlaban où chante la campagne

Tout le monde resonge à tes pas sur la piste

Car te voilà parti, laissant tes amis tristes

Je sais maintenant que tes regards et tes gestes

S’écriront dans le temps de la vie qui nous reste

De tes pluies incessantes aux tendres calissons

Du soleil effacé aux douces floraisons

Passent ainsi les jours gris qu’au vent mauvais je jette

Pour te garder les vers de mon ami poète...

Dieu fasse que ma complainte aille tambour battant

Te parler de la pluie, te parler du gros temps

 

Patrick Janvier 2020

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27 janvier 2020 1 27 /01 /janvier /2020 15:22
Daniel GLIZE, prix de poésie libérée à Aix en Provence -HORIZON janvier 2020
Daniel GLIZE, prix de poésie libérée à Aix en Provence -HORIZON janvier 2020
Daniel GLIZE, prix de poésie libérée à Aix en Provence -HORIZON janvier 2020

Daniel GLIZE, prix de poésie libérée à Aix en Provence -HORIZON janvier 2020

Nos félicitations à Daniel GLIZE pour sa participation active dans le monde poétique du concours d'Aix en Provence.

Michel TOCHE, notre grand prix de 2019 fait son chemin parmi les récompenses.
Michel TOCHE, notre grand prix de 2019 fait son chemin parmi les récompenses.
Michel TOCHE, notre grand prix de 2019 fait son chemin parmi les récompenses.

Michel TOCHE, notre grand prix de 2019 fait son chemin parmi les récompenses.

Provence-poésie félicite aussi Michel TOCHE, il a reçu le premier prix de la nouvelle à Montauroux (Var) le 9 décembre 2019 pour "Tant que nous serons deux" et, plus récemment, le premier prix de l'association "Envie de vous lire" et le prix de la ville de Viroflay (Yvelines) le 18 janvier dernier pour "Emmurées", au cours de la nuit de la lecture,  remis en présence de Marie-Hélène Lafon (prix Goncourt de la nouvelle 2016).

Trois adhérents de Pp primés au concours  du palais Longchamp
Trois adhérents de Pp primés au concours  du palais Longchamp
Trois adhérents de Pp primés au concours  du palais Longchamp
Trois adhérents de Pp primés au concours  du palais Longchamp

Trois adhérents de Pp primés au concours du palais Longchamp

Sonia KITAEFF, sacrée  muse poète de 2019 de Provence-poésie avec Alice HUGO et Denise BIONDO (voir le périodique) obtient à Marseille, pour les cinquante ans du palais Longchamp, le deuxième prix du concours littéraire, derrière Paul di GIOVANNI premier prix, et devant Zavèn SARAFIAN quatrième prix. Tous trois membres actifs de Provence-poésie qu'on retrouvera pour le repas annuel de Pp le 15 septembre à Roquevaire. Un grand bravo à tous !

Article FZ

Deux anciennes adhérentes de Pp, déjà lauréates à Aubagne, gagnent un prix à Sablet...
Deux anciennes adhérentes de Pp, déjà lauréates à Aubagne, gagnent un prix à Sablet...
Deux anciennes adhérentes de Pp, déjà lauréates à Aubagne, gagnent un prix à Sablet...
Deux anciennes adhérentes de Pp, déjà lauréates à Aubagne, gagnent un prix à Sablet...
Deux anciennes adhérentes de Pp, déjà lauréates à Aubagne, gagnent un prix à Sablet...

Deux anciennes adhérentes de Pp, déjà lauréates à Aubagne, gagnent un prix à Sablet...

Une adhérente de Provence-poésie, au sommet de la poésie classique à Sablet : Mauricette BUFFE-GABRIEL, plusieurs fois primée au cours de son adhésion à Provence-poésie éditions et partenaire interprète de plusieurs lectures-spectacle, gagne le prix de poèsie classique du concours de Sablet 2019 (récompense le 20 juillet) avec  sa villanelle du Ventoux, sous la présidence de notre ami Chris BERNARD.

Auprès d'elle, nous tenons à signaler dans un prix de nouvelle égament consacré au Ventoux : Pensées lapidaires, la présence de Brigitte BANJEAN, ex-relectrice de l'association et membre de l'Atelier, partenaire d'écriture d'un opus de Frank ZORRA, qui fut le grand prix de la ville d'Aubagne dans notre concours du pays d'Aubagne en 2016. (voir texte ci-dessous)

Bravo à toutes les deux ainsi qu'à tous ceux qui ont obtenu un prix dans le concours de Sablet.

Article FZ

Photos dossier

Pensées lapidaires

Avec mes sœurs, les unes serrées aux autres nous affichons une harmonie éclatante. Notre force ? La main de l’homme, oui oui, la main de l’homme. Asseyez-vous, je vais vous expliquer.

Patiente et docile, je sais me tenir. Cela ne m’empêche pas de m’envoler, de laisser mon esprit rêveur planer librement dans le souffle du vent et de palpiter au rythme des chaudes journées d’été où l’affluence devient presque insupportable. Patiemment, j’emmagasine la chaleur qui m’aidera à résister aux morsures du gel hivernal.

C’est un maçon-poète qui m’a placée là, un amoureux un brin taquin qui a joué avec les ombres et les formes de mes congénères et de moi-même afin d’offrir au visiteur un ensemble parfait. Je suis encastrée sur la face intérieure de la troisième ligne du porche de la chapelle Sainte Croix, au sommet du mont Ventoux. De notre arche, nous veillons depuis des lustres sur les promeneurs curieux qui défilent à nos pieds et soufflent un instant avant de repartir dans la contemplation du panorama. Point de repère pour les égarés, lieu de rassemblement et de repos, notre positionnement se révèle hautement stratégique.  Souvent, les marcheurs s’assoient un moment, quelques-uns nous observent méticuleusement, jaugeant le minutieux travail des bâtisseurs et d’autres encore profitent parfois de cet écrin insolite pour déclarer leur flamme et s’enlacer passionnément. Nous devenons alors les témoins muets d’innombrables secrets tendrement murmurés, le soir par quelques romantiques attardés. Le concepteur-poète m’a caressée de sa grosse main râpeuse qui, lorsqu’elle m’a découverte, inerte dans le tas d’éboulis de la vieille chapelle détruite, a évalué attentivement l’intérêt que représentaient ma forme allongée et ma couleur tirant légèrement vers le gris. Ma première vie, je l’avais passée en pieuse position mais, inanimée depuis si longtemps, j’étais prête à accepter n’importe qu’elle place sauf celle d’atterrir aux déchets et de tristement finir aux remblais. Mon sauveur m’a d’abord soupesée, époussetée et finalement sélectionnée pour m’offrir ce poste de choix, poursuivant avec joie et foi ma mission œcuménique initiale.  

Certains diront que je suis quelconque, insignifiante à côté de mes cousines dites « précieuses ». Effectivement, malgré la richesse de ma composition à prédominance carbonatée, renforcée de quelques pointes d’ocre se mêlant subtilement aux cristaux de quartz, je n’ai pas l’éclat ni la brillance du rubis, mais l’art lapidaire serait-il supérieur à l’architecture poétique ? Oui, il me plait d’imaginer que la construction de cette chapelle est plus poétique que religieuse, ainsi chacun peut laisser libre cours à ses idées, ses convictions et croyances car la poésie est universelle et sans aucune limite. À mon humble avis, les deux sciences, lapidaire et architecturale, pourraient être complémentaires et nous serions alors regardées avec le même respect. D’ailleurs, certaines d’entre nous sont appelées « les gemmes », les j’aime…

D’horribles expressions s’emparent de notre nom : « Avoir un cœur de pierre » exprime une dureté d’âme tandis que la nôtre est si douce. « La pierre tombale » donne souvent froid dans le dos alors que les familles granitiques ou marbrières s’efforcent en toute bonne foi de protéger les sépultures aux yeux des vivants tout en offrant aux défunts un ultime hommage par un refuge esthétique et minéral. Sans parler des métaphores scientifiques pour nous accuser de troubles organiques sévères au nom bizarrement mathématique ou étymologiquement gréco-poétique tel que calcul rénal ou lithiase biliaire. N’importe quoi ! Encore plus choquant, ce florilège de mots péjoratifs véhiculant une idée de bassesse insupportable qu’expriment « caillou », « pavé » ou autre « caillasse ». Quelles insultes ! Pourtant, je suis très fière de mon nom, féminin lorsqu’il est commun, devenant mystérieusement masculin en acquérant l’état dit de « nom propre ». Autre détail surprenant, pour le féminiser, les hommes lui accolent le suffixe «ette», utilisé aussi pour signifier « quelque chose de plus petit », amusant n’est-ce pas ?

Ce noble nom fut offert au premier apôtre ainsi qu’au premier pape de l’histoire et à une bonne centaine de saints. Il fut aussi porté par une dizaine de rois et de nombreuses personnalités influentes. En dehors de toute connotation religieuse, le plus beau des cadeaux s’exprime par le fait qu’un grand nombre d’individus portent ce joli prénom, le plaçant à la troisième place des attributions dans l’hexagone et encore actuellement, presque huit cents petits garçons sont appelés ainsi chaque année. Je peux bien être fière !

Remarquez, nous sommes parfois d’humeur espiègle. Je sais que certaines comiques s’amusent à s’incruster dans les lentilles ! Mais ce sont les petites, elles sont fougueuses et mutines, il faut leur pardonner. D’ailleurs toute la faute n’incombe pas à la race minérale, beaucoup sont de mèche avec les dentistes…

Voyez, ici, de ma position, je suis à l’affût. Je me sens extrêmement bien placée pour tout contempler et par temps clair, la vue s’étire jusqu’à la mer. Privilège de vivre au sommet du Géant de Provence qui attire tant d’admirateurs passionnés. Encore hier, un groupe s’est rassemblé sur le parvis pour lire lentement une partie du premier volume des Souvenirs entomologiques de Jean-Henri Fabre, relatant Une ascension au mont Ventoux, une merveille. Nous avons discuté, enfin, surtout eux, moi j’écoutais patiemment.

Les poètes et les pierres partagent une qualité que le commun des humains nous envie : nous sommes immortels.

La Provence chérit le culte de la pierre et c’est heureux car les pierres sont présentes partout, en murets, en bories, en margelles, en monuments et en chapelles. Nous sommes l’opposé du jeunisme à la mode, car l’âge nous embellit, renforçant notre patine et arrondissant nos aspérités. Parfois, un coussinet de mousse s’amuse à nous recouvrir, alors, l’osmose minérale et végétale est parfaite, favorisant ensuite la vie animale qui se réjouit d’y trouver refuge.

Une autre de mes cogitations se dirige vers les artisans qui nous vénèrent. Ils peuvent être carrier, tailleur, joaillier ou diamantaire selon à quel moment de notre vie ils interviennent mais ils sont tous nommés  « lapidaires ». Sans oublier les collectionneurs, les dénicheurs, ceux qui, à l’occasion d’une balade, nous gratouillent, nous observent et nous glissent au creux de leur poche pour une raison obscure, nous exposant ensuite dans une vitrine, sur une étagère ou sur leur bureau.

En tout cas, ici, l’impressionnante calotte pierreuse offre à notre mont Ventoux une blanche auréole visible de très loin et même par avion, laissant croire que sa cime est recouverte de neiges éternelles. Encore une facétie du calcaire provençal rendant immaculée la partie sommitale du Géant. Sans parler des nombreux pierriers qui jalonnent les combes du Ventoux.  

Qui a dit que les pierres sont inertes ? Balivernes ! Regardez-les bien, elles expriment toujours quelque chose. Et pour celui qui vient jusqu’ici déposer ses prières et ses pensées, nous faisons le maximum afin qu’elles soient entendues. Ne dit-on pas que les murs ont des oreilles ?

Tout au long de l’année, la chapelle Sainte Croix reçoit dignement ses visiteurs mais c’est à la Saint Jean, le 23 juin, que l’animation est la plus belle. Et c’est d’ici, sentinelle de Provence, que l’étincelle embrase les fagots apportés lors de la Recampado, donnant le signal pour allumer tous les feux des villages alentours. Alors les pierres chauffent et leur blancheur reflète le feu et la lumière sur tous les visages des pèlerins qui chantent et dansent au-dessus des flammes et les histoires vont bon train.

Au soir du 23 juin dernier, un poète m’a même parlé de la pierre philosophale, il a promis de m’expliquer, mais… chut ! Ceci un secret lapidaire.

 

Avec l'autorisation de l'auteur(e)

Denise BIONDO, médaille de la ville d'Aubagne, gagne un prix de la nouvelle au concours Astier-Cestion, Montélimar.
Denise BIONDO, médaille de la ville d'Aubagne, gagne un prix de la nouvelle au concours Astier-Cestion, Montélimar.
Denise BIONDO, médaille de la ville d'Aubagne, gagne un prix de la nouvelle au concours Astier-Cestion, Montélimar.
Denise BIONDO, médaille de la ville d'Aubagne, gagne un prix de la nouvelle au concours Astier-Cestion, Montélimar.
Denise BIONDO, médaille de la ville d'Aubagne, gagne un prix de la nouvelle au concours Astier-Cestion, Montélimar.
Denise BIONDO, médaille de la ville d'Aubagne, gagne un prix de la nouvelle au concours Astier-Cestion, Montélimar.
Denise BIONDO, médaille de la ville d'Aubagne, gagne un prix de la nouvelle au concours Astier-Cestion, Montélimar.

Denise BIONDO, médaille de la ville d'Aubagne, gagne un prix de la nouvelle au concours Astier-Cestion, Montélimar.

Après la médaille de la ville d'Aubagne qui lui a été remise en avril, Denise BIONDO gagne un prix de la nouvelle au concours Juliette Astier-Cestion à Montélimar avec sa nouvelle : Le pouvoir des mots.

Remise des prix samedi 4 mai à 14h30 à Montélimar.

Cette nouvelle sera éditée dans le recueil de fin d'année de Pp qui portera le même titre.

Un adhérent de Provence-poésie gagne le deuxième prix au concours PAGNOL
Un adhérent de Provence-poésie gagne le deuxième prix au concours PAGNOL

Un adhérent de Provence-poésie gagne le deuxième prix au concours PAGNOL

Provence-poésie dans les Landes : Joëlle SOLARI.
Provence-poésie dans les Landes : Joëlle SOLARI.
Provence-poésie dans les Landes : Joëlle SOLARI.

Provence-poésie dans les Landes : Joëlle SOLARI.

Joëlle SOLARI élargit le créneau des auteurs du pays d'Aubagne et déploie les plumes de Provence sur les marchés de Noël de Ste Eulalie en Born dans la forêt Landaise en bordure d'océan.

Bernard OURSINUS-ROYER remporte le deuxième prix du concours PAGNOL à Aubagne pour une rencontre du Schpountz chez Marvel...

Sonia KITAEFF expose son nouveau livre et ses tableaux à Marseille...

 

(article   : FZ)

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27 décembre 2019 5 27 /12 /décembre /2019 18:23
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
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Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
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Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
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Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...
Les contes de nos moulins  : du rire et de l'émotion pour décembre...

Les contes de nos moulins : du rire et de l'émotion pour décembre...

Le 14 décembre, salle habituelle MVA à partir de 16 h et jusqu'à 19h30, Provence-poésie proposait dans la série : Les contes de nos moulins,  une succession de lectures et de scènes tirées des oeuvres de Georges Brassens (La légende de la tour Marguerite- Son coeur au diable), d'Alphonse Daudet (Christian TRINGA en curé de Cucugnan et Danyel CAMOIN en diable) et  de Guy de Maupassant, avec  Mireille MANDUCA, Alain D'AIX, Guy FEUGIER,  et l'équipe de Pp où se remarquaient de nouveaux visages dont Christine LEIDET et Dominique BAUDOIN.

Avec l'accordéon d'Alain VERRIEZ qui animait l'aubade, puis l'accompagnement et le final .

Présentation de Denise BIONDO,

Animation à l'entracte : Mireille MANDUCA présentait son Aïoli après le tirage du gagnant de l'urne.

Ceux-ci étaient suivis en deuxième partie par "Le père Noël et la sorcière " mise en scène de Danyel CAMOIN, qui incarnait aussi la sorcière, avec ses textes ajoutés à ceux issus de chants de Gilbert Bécaud, Charles Aznavour, Jacques Dutronc ou Joe Dassin où Jean-Claude COLAY devenait le père Noël.

Auteurs invités à la dédicace :  Catherine MAUGER,  Alain d'AIX, Patrick LEIDET et Dominique BAUDOIN également partenaires du spectacle.

Table ronde pour la sortie du livre : Le pouvoir des mots, tremplin de six jeunes auteurs auprès de Denise BIONDO pour ce recueil de nouvelles.

Avec une participation finale chantée par Edouard (Trousse- chemise, Désormais) et Christian (Mère Noël)  avant le verre de l'amitié de fin d'année.

 

Article FZ

photos : Patrick LEIDET

 

Un nouvel auteur à découvrir : Catherine MAUGER-TROUILLER
Un nouvel auteur à découvrir : Catherine MAUGER-TROUILLER
Un nouvel auteur à découvrir : Catherine MAUGER-TROUILLER
Un nouvel auteur à découvrir : Catherine MAUGER-TROUILLER

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22 novembre 2019 5 22 /11 /novembre /2019 12:08
Rejoignez Daniel Glize, adhérent de Pp, à Roquevaire, au florilège des artistes...
Rejoignez Daniel Glize, adhérent de Pp, à Roquevaire, au florilège des artistes...
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Rejoignez Daniel Glize, adhérent de Pp, à Roquevaire, au florilège des artistes...
Rejoignez Daniel Glize, adhérent de Pp, à Roquevaire, au florilège des artistes...

Rejoignez Daniel Glize, adhérent de Pp, à Roquevaire, au florilège des artistes...

Provence-poésie vous informe des dédicaces ou organisations de ses adhérents extérieures à la salle habituelle de l'association.

A l'occasion quelques images de partenariat à travers le temps avec Portique dont notre président fait partie du jury concours de nouvelles à Nyons.
A l'occasion quelques images de partenariat à travers le temps avec Portique dont notre président fait partie du jury concours de nouvelles à Nyons.
A l'occasion quelques images de partenariat à travers le temps avec Portique dont notre président fait partie du jury concours de nouvelles à Nyons.
A l'occasion quelques images de partenariat à travers le temps avec Portique dont notre président fait partie du jury concours de nouvelles à Nyons.
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A l'occasion quelques images de partenariat à travers le temps avec Portique dont notre président fait partie du jury concours de nouvelles à Nyons.
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A l'occasion quelques images de partenariat à travers le temps avec Portique dont notre président fait partie du jury concours de nouvelles à Nyons.
A l'occasion quelques images de partenariat à travers le temps avec Portique dont notre président fait partie du jury concours de nouvelles à Nyons.

A l'occasion quelques images de partenariat à travers le temps avec Portique dont notre président fait partie du jury concours de nouvelles à Nyons.

Message transmis par Portique et concernant la journée prochaine du 8 mars juste après notre remise des prix des dix ans de concours, à vous de signifier votre accord avec notre ami Chris Bernard ou pas mais lisez tout de même ci-dessous, svp...

 

« Pour la Fraternité, l’Amour, la Tolérance »

 

Certains hommes sont blancs, noirs, jaunes ou créoles,

Mais ils se valent tous, quell’ que soient leurs idoles !

Si les humains de toute nationalité

Cessent de se combattre et de se jalouser,

Si les mangeurs de riz, de sorgho ou d’épeautre

Ne disent plus un jour que « le Mal, c’est les autres »,

Alors nous sauverons toute l’humanité :

Nous vivrons l’heureux temps de la fraternité !

 

Chris Bernard

 

Le summum humaniste (pour ne pas dire humanitaire), c’est l’amour des uns pour les autres ; ou, si cela est possible, l’estime. Si l’on ne s’en croit pas capable, c’est le respect de l’autre ; et au minimum, la tolérance. Voilà ce qui devrait guider les pensées et les actions de tout être humain civilisé, pour ses frères, ses sœurs, ses camarades !

Nous vous proposons, à l’occasion du Printemps des Poètes, de dire le dimanche 8 mars 2020 quelques vers fraternels (par exemple ceux qui figurent ci-dessus, ou tout autre poème de votre choix) en faveur de la fraternité, de l’amour et de la tolérance entre les hommes (les hommes et les femmes bien entendu, car cela s’entend sans distinction de couleur de peau, de sexe ou de religion…) en les dédiant - dans votre cœur ou dits à voix haute - à « la fraternité, l’amour, la tolérance ».

Portique sera heureux d’apprendre que vous avez participé à cette initiative si vous voulez bien le lui faire savoir, par courrier à l’adresse : Portique, mairie, 8 place de la mairie, 84110 Puyméras, ou par Internet à l’adresse : cris.ber@laposte.net

Autour de nous : fin d'année
De nombreux adhérents de Pp présents samedi 16 novembre au carré des écrivains parmi lesquels notre président.

De nombreux adhérents de Pp présents samedi 16 novembre au carré des écrivains parmi lesquels notre président.

Ivo de Marseille au comité du vieux Marseille le 29 octobre 17h00 par Danyel CAMOIN : à signaler la présence de Claude CAMOUS.
Ivo de Marseille au comité du vieux Marseille le 29 octobre 17h00 par Danyel CAMOIN : à signaler la présence de Claude CAMOUS.
Ivo de Marseille au comité du vieux Marseille le 29 octobre 17h00 par Danyel CAMOIN : à signaler la présence de Claude CAMOUS.

Ivo de Marseille au comité du vieux Marseille le 29 octobre 17h00 par Danyel CAMOIN : à signaler la présence de Claude CAMOUS.

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5 novembre 2019 2 05 /11 /novembre /2019 10:55
Sortie : Le pouvoir des mots. Clin d'oeil aux nouvelles éditées ultérieurement... Entre deux eaux (premier volume)
Sortie : Le pouvoir des mots. Clin d'oeil aux nouvelles éditées ultérieurement... Entre deux eaux (premier volume)

Sortie : Le pouvoir des mots. Clin d'oeil aux nouvelles éditées ultérieurement... Entre deux eaux (premier volume)

A l'occasion de la  prochaine sortie du nouveau recueil : Le pouvoir des mots piloté par Denise BIONDO avec vingt auteurs des concours dont six de moins de dix-huit ans, voici un texte issu de notre premier recueil de ce genre : Entre deux eaux.

 

Pour nos lecteurs du blog,  nous allons ouvrir avec lui une page aux coups de coeur du président, parmi les nouvelles publiées ou lues dans le cadre de Provence-poésie éditions.

La rubrique débute ici avec une nouvelle de Joëlle BEHEZ, également partenaire de Frank ZORRA et de Geneviève CASABURI dans le livre : Les fantômes de Marseille, éditions Pp en vente sur commande à La Fnac ou à Pp...

 

(Cette nouvelle a été publiée dans le premier recueil de groupe à compte éditeur de Pp qui contenait les oeuvres de douze dames : Entre deux eaux.)

 

 

Cette voix suave et nette constitue une présence chez cette solitaire, le nez et le stylo enfoncés dans les dossiers de son travail, et voilà que sa plume prend tout à coup un air de liberté et griffonne sur une feuille libre une histoire sans contrainte…

 

 

Avec toi, sans toit

 

 

 

Joëlle BEHEZ

C’est une manière discrète de participer, d’être auprès de vous…

Pp éditions

 

 

Je me pressais. Comme d’habitude. J'allais être en retard au bureau. J'avais passé trop de temps devant mon miroir à me recoiffer et le fermoir de mon bracelet en argent m'avait fait perdre du temps ; en me précipitant, j'avais cassé un talon : il me faudrait racheter des escarpins. De plus, il fallait que je change de voiture car celle-ci se traînait sur la route. Si j'avais mis des années pour obtenir ce poste, ce n'était pas le moment de le perdre. Enfin c'est ce que je pensais jusqu'à ce que...

 

Là, devant moi, dans le parking du supermarché, ce n'était pas possible ! Et pourtant c’était lui. Celui que j'avais quitté pour assurer ma situation en femme libre et libérée sans dépendre d’un patron. C'était la première fois que je le revoyais depuis vingt ans. Il n'avait pas beaucoup changé. Il avait certes vieilli, quelques cheveux gris tombaient sur ses oreilles et sa barbe avait poussé mais je me noyais toujours au fond de ses yeux bleus. Un individu comme lui, il ne pouvait en exister deux. Même là, la main tendue, mal vêtu et pas rasé, il gardait encore un charme certain, un pouvoir attractif indéfini.

Je me rappelais encore de ces nuits que j'avais passées toute nue dans ses bras. À l'époque, il dirigeait une entreprise et portait des costumes bleus comme ses yeux et je ne m’enfermais pas dans ma chemise de nuit actuelle.

Apparemment tout avait mal tourné pour lui. Ce n'était plus qu'un SDF parmi tant d'autres.

Ses cheveux emprisonnés dans une casquette le faisaient ressembler aux supporters de grands matchs. De quoi en « tomber sur le cul ». Comme on change !

Dire que j'avais si souvent pensé à lui en l'imaginant au niveau d'un président. Chic et choc !

Lorsque je l'ai fait monter dans ma voiture, lorsque je l'ai ramené chez moi avec la ferme intention simple de vouloir le secourir, il a dû se trouver gêné.

Et quand je l'ai déshabillé pour qu'il puisse prendre un bain et se « désodoriser », je l’ai trouvé très maigre. On apercevait ses côtes. Lui que j'avais connu en pleine forme semblait largement démuni sexuellement : son petit escargot qui nageait dans son grand slip n'avait plus la superbe d'autrefois. Bien sûr, pour moi, ce n'était pas le plus important, mais lui, sans doute devait s'en inquiéter et il se trouvait diminué devant moi. C’est là que les hommes placent leur virilité débordante en principe.

Quand j'ai eu rasé sa barbe, avec peine, je lui ai offert un bon repas de ma conception au sein de ma cuisine : il s'est rassasié. Après avoir bien bu, il s'est endormi contre mon sein à moi. La recherche maternelle sans doute…

Mais quand je me suis réveillée au petit matin, il n'était plus dans mes draps. Il était encore trop fier pour se laisser entretenir par une femme. Il avait fui avec la nuit. Même sa chute dans le malheur n’avait pu changer sa fierté intérieure. Il chantonnait encore, mon troubadour perdu, plongé sans doute dans le souvenir d’une autre époque.

Dès que j'ai pu, je suis retournée vers ce bâtiment du quartier qui abritait plusieurs sans-logis, dans le courant d'air d'un manque de volets aux fenêtres et la sobriété de l’absence de mobilier autre que les lits métalliques drapés de draps douteux dont la blancheur aurait eu besoin d’une super lessive. Je ne l'ai pas retrouvé là-bas. D'autres malheureux essayaient de s'accrocher à moi en se demandant ce que quelqu'un d'aussi bien vêtu que moi venait faire dans ce taudis où le chauffage n'était qu'un feu qui brûlait dans une barrique de métal trouée. Je n'avais jamais autant ressenti la misère. C'est là que j'ai compris qu'on pouvait descendre d'un seul coup même après avoir fréquenté le Sommet. Nul n’était à l’abri de la chute brutale. J’ai vite laissé la tâche blanche que je représentais hors de cette pénombre.

Ce soir-là, mon bon repas, bien équilibré par ma diététicienne, ne passait pas ; le sommeil, dans mon superbe lit à baldaquins, ne venait pas. Je tournais et retournais dans mes superbes draps blancs pourtant si doux. J’avais beau offrir mon corps à Morphée : je ne ressentais qu’une piqûre côté cœur qui me brûlait la peau et me réveillait à chaque fois. Pourtant, depuis, je l’avais oublié ! Alors pourquoi d’un seul coup, mon lit tant accueillant où je me vautrais après ma journée de labeur, me semblait-il soudain vide ?

Un caprice ? Une flèche égarée par Cupidon ?

La semaine qui suivit me fit connaître l'enfer. Je tournais comme une lionne en cage. Je ne parvenais plus à me concentrer dans mon travail comme si mon cerveau manquait d’oxygène.

Quelques jours plus tard, enfin, après un tas de recherches infructueuses, je l’ai retrouvé sous un pont. Il m'a regardée venir avec des yeux vitreux qui semblaient me dire : « Je ne veux pas de ta charité. »

Mais ce n'était plus le but que je m'étais tracé. J'avais compris…

Et j’ai voulu voir un « je t’aime » pudiquement déguisé dans sa ritournelle de chanteur de rue.

Le matin même, j'avais vendu mon appartement, j'avais placé beaucoup d'argent sur un compte secret mais je n'avais gardé qu'un minimum vital avec moi. J'avais revêtu un jean, un pull, j'avais coiffé mes cheveux dans une casquette et…

C’est difficile à croire : j'ai dormi avec lui dans des cartons. Je n’ai jamais été aussi bien.

 

Aujourd'hui, une seule chose compte : je l'ai retrouvé ! J’ai pris mon bain toute nue dans le canal et je n'ai même pas attrapé un rhume sans doute chauffée par son regard au soleil levant.

Mon travail ? J’ai démissionné, je suis heureuse... Pour l'instant ! Je n'ai pas changé de voiture et je n'ai pas racheté d’escarpins.

Bien sûr, je ne sais pas combien de temps ça durera... Mais rien n'est éternel. Qui vivra verra...

Une chose est sûre, je n'ai jamais autant apprécié un clair de lune à la belle étoile : c'est fou ce que le ciel peut changer avec toi… et sans toit !

 

Avec l'autorisation de l'auteur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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21 octobre 2019 1 21 /10 /octobre /2019 15:06
Marché des créateurs autour de Pp le 26 et 27 octobre dès 9h30 espace des libertés Aubagne

Marché des créateurs autour de Pp le 26 et 27 octobre dès 9h30 espace des libertés Aubagne

Troisième année de participation.

Provence-poésie lance ses représentants sur la galerie en folie les 26 et 27 octobre dès 9h30 à l'espace des Libertés parmi les créateurs.

La visite est gratuite.

Nos prochaines participations

Apprès la soirée lecture du 8 novembre, salle habituelle à Aubagne (MVA)  spécialement réservée aux adhérents sous le signe hommage à Jean Di Fusco, ne manquez pas l'exposition de Sonia Kitaeff à Marseille à partir du 16 novembre.

Nos prochaines participations
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  • : Le blog de Provence-poésie
  • : Présentation de nouvelles, poèmes et livres de Provence-Poésie avec ses auteurs attitrés : Denise BIONDO, Frank ZORRA, Danyel CAMOIN, Emile MIHIERE, Joëlle SOLARI... Infos sur les lectures-spectacles et les autres activités avec collège ou maison de retraite...
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